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«Vingt-quatre heures de la vie d’une femme » de Stefan Zweig

éditions : Le livre de poche

Sortie : première parution 1927

Pages : 160

Pays : Autriche

Résumé :

« Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée… Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. »

Extrait :

Site Le livre de poche : http://www.livredepoche.com/vingt-quatre-heures-de-la-vie-dune-femme-stefan-zweig-9782253060222

Avis :

En plus du côté novateur et visionnaire des sujets d’écriture de Zweig, je lui reconnais une très belle description. Pas celles qui décrivent des paysages ou des repas pendant cinquante pages, non, juste celles qu’il faut pour nous ancrer l’image sur l’esprit.

J’ai adoré découvrir dans ce tout petit livre, la passion brutale, inattendue, que nous livre Mrs C. Les sentiments sont sublimement décrits, avec une ferveur touchante. Ce sont ces livres qu’on lit en une seule fois et dont on se souvient toute sa vie.

Avec Zweig, les classiques deviennent très simples à lire. Si vous voulez essayer les écrits du début du vingtième siècle, cette lecture est parfaite.

C’est un intemporel qui m’a fait penser à Piaf. « Vingt-quatre heures de la vie d’une femme » a la même puissance et aurait pu être une œuvre musicale à mes yeux.

Conseil de lecture :

A lire par un après-midi de congé sur un banc public au soleil. A la fin de votre lecture, allez prendre un verre en terrasse.

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